«Gilets jaunes» acte 12: Revivez la journée de mobilisation des «gilets jaunes»

Publié le par angeline351

«Gilets jaunes» acte 12: Revivez la journée de mobilisation des «gilets jaunes»

Le bilan des échaufourées en marge de l'acte 12 des «gilets jaunes» s'allourdit à Strasbourg. «Des propos à caractère raciste et antisémite» ont été proférés près de la Grande Synagogue, a indiqué dans un communiqué la préfecture du Bas-Rhin. Des propos condamnés «avec la plus grande fermeté» par le préfet Jean-Luc Marx, selon la même source. La journée, «émaillées d'incidents», a également été marquée par plusieurs échauffourées avec les forces de l'ordre qui ont procédé à 19 interpellations, selon un communiqué de la préfecture. Neuf membres des forces de l'ordre ont été légèrement blessées, selon la même source

A Charleville-Mézières (Ardennes), environ 400 «gilets jaunes» ont défilé dans le centre-ville, mais des «violences» ont émaillé la manifestation, selon un communiqué de la préfecture, qui a déploré des «jets de pierres, de peinture, de pétards à mèches» en direction de la police. Trois interpellations ont eu lieu, a-t-on précisé de même source.

A Strasbourg, aucun chiffre officiel sur la participation n'a été communiqué. Un responsable communication des «gilets jaunes» a évoqué le chiffre de 8.000 personnes à cette manifestation qui n'avait pas été déclarée. La journée a été marquée par plusieurs échauffourées avec les forces de l'ordre qui ont procédé à trois interpellations, dont deux pour violences sur des policiers, selon la préfecture.

En Lorraine, la manifestation de Nancy, également non déclarée, a réuni environ 2.000 personnes, selon un photographe de l'AFP. Douze personnes ont été interpellées pour outrage et rébellion, selon la préfecture. Un membre des forces de l'ordre a été «très légèrement blessé», selon la même source. Plusieurs face-à-face ont opposé manifestants et forces de l'ordre qui, après avoir reçu projectiles et pétards, ont répliqué avec des gaz lacrymogènes, selon un photographe de l'AFP.

A Besançon, où environ 600 personnes ont manifesté, une personne a été interpellée pour outrage, selon la préfecture. Un manifestant a été blessé à la tête, selon la même source, qui précise que l'origine de la blessure n'est pas un tir de lanceur de balle de défense (LBD).

A Strasbourg, aucun chiffre officiel sur la participation n'a été communiqué. Un responsable communication des «gilets jaunes» a évoqué le chiffre de 8.000 personnes à cette manifestation qui n'avait pas été déclarée. La journée a été marquée par plusieurs échauffourées avec les forces de l'ordre qui ont procédé à trois interpellations, dont deux pour violences sur des policiers, selon la préfecture.

En Lorraine, la manifestation de Nancy, également non déclarée, a réuni environ 2.000 personnes, selon un photographe de l'AFP. Douze personnes ont été interpellées pour outrage et rébellion, selon la préfecture. Un membre des forces de l'ordre a été «très légèrement blessé», selon la même source. Plusieurs face-à-face ont opposé manifestants et forces de l'ordre qui, après avoir reçu projectiles et pétards, ont répliqué avec des gaz lacrymogènes, selon un photographe de l'AFP.

A Besançon, où environ 600 personnes ont manifesté, une personne a été interpellée pour outrage, selon la préfecture. Un manifestant a été blessé à la tête, selon la même source, qui précise que l'origine de la blessure n'est pas un tir de lanceur de balle de défense (LBD).

Au moins 4.000 personnes, selon une estimation de l'AFP (la préfecture ne donne plus de chiffres), se sont rassemblées ce samedi sur la place de la Bourse de Bordeaux , contre 5.000 recensés la semaine dernière, ou le record de 6.000 enregistré mi-janvier par la préfecture. Le cortège a fini par converger vers la place Pey Berland.

Visés par toutes sortes de projectiles, les forces de l'ordre ont répliqué avec des LBD tandis qu'au moins deux voitures ont été incendiées, des boutiques pillées ou vandalisées et du mobilier urbain détruit, ont constaté des journalistes de l'AFP, qui ont aussi vu quelques blessés et de nombreuses interpellations. Surveillés du ciel parl'hélicoptère des forces de l'ordre, les manifestants ont tenté de se replier sur une autre place de la ville, incendiant des barricades, mais ils ont été évacués par les gaz lacrymogènes.

Environ 1.400 «gilets jaunes», selon la préfecture du Nord, et plus de 2.000, selon les organisateurs, ont manifesté ce samedi dans le centre-ville de Lille . Parti vers 14 heures de la place de la République, le cortège a parcouru de nombreuses rues du centre-ville avant de se disperser «sans heurts» aux alentours de 17h30, selon la préfecture.

Environ 1.500 personnes ont défilé dans le centre de Nantes dans une atmosphère tendue, a constaté l'AFP. Selon la préfecture, qui n'a pas fourni de chiffre de participation, la mobilisation était en «baisse significative» samedi par rapport à la semaine dernière, mais «des individus extrêmement violents» ont commis de nombreuses dégradations.

Selon la préfecture de Loire-Atlantique, deux policiers ont été blessés par des «jets de projectiles», dont un pavé. Un manifestant a été interpellé. Un photographe indépendant a lui aussi été blessé à la lèvre, a constaté l'AFP

La grille d'un hôtel particulier abritant la BNP a été forcée et des poubelles incendiées dans la cour, a constaté un photographe de l'AFP, les autorités faisant état de leur côté de «nombreux commerces et établissements bancaires dégradés», ainsi qu'un établissement MacDonald's.

Comme annoncé, la préfecture de Haute-Garonne ne livre pas de bilan chiffré précis des  quatre cortèges qui ont manifesté ce samedi à Toulouse (trois manifestations déclarées et une non déclarée). «Les manifestations ont rassemblé quelques milliers de personnes dans le centre-ville de Toulouse», se contente d'écrire la préfecture dans un communiqué dressant un bilan provisoire. «Quelques incidents ont eu lieu à différents endroits à Toulouse avec des tags sur des devantures de magasin, des tirs de mortiers et des jets de projectiles en direction des forces de l’ordre, précise-t-elle. A 17 heures, elle dénombrait deux blessés «en urgence relative» et quatre personnes interpellées. 

Quelques milliers de «gilets jaunes» défilaient ce samedi dans les rues de Strasbourg dans un climat parfois tendu entre manifestants et forces de l'ordre qui ont fait plusieurs fois usage de gaz lacrymogène, a constaté un journaliste de l'AFP. La préfecture n'a pas communiqué de chiffres. Un responsable de la communication des «gilets jaunes» a évoqué le chiffre de 8.000 personnes.

Deux policiers ont été blessés à Nantes par des jets de projectiles, a appris l’AFP de source policière et auprès d’un photographe de l’agence.

Un policier de la brigade anti-criminalité (BAC) a été évacué par les pompiers, a constaté le photographe de l’AFP. Selon les services de police de Loire-Atlantique, les deux policiers ont été blessés par des « jets de projectiles », et un manifestant a été interpellé.

Un photographe indépendant a lui aussi été blessé à la lèvre, a constaté l’AFP.

A Bordeaux, la mobilisation paraît légèrement en baisse avec quelque 4.000 manifestants selon une estimation de l’AFP, la préfecture refusant depuis deux semaines de donner des chiffres. La semaine dernière, l’AFP recensait environ 5.000 personnes.

A Marseille, sous des banderoles faussement ensanglantées pour dénoncer les blessures infligées par la police à des manifestants depuis le début du mouvement, 2.000 « gilets jaunes » ont défilé du Vieux-Port au Vélodrome selon la police. Au même moment, 2.500 personnes marchaient contre le mal-logement sur une autre trajectoire.

A Montpellier, où 2.000 manifestants environ avaient défilé une semaine plus tôt, les « gilets jaunes » n’étaient que 400 selon la police, mais plus d’un millier selon un décompte de l’AFP, sous la pluie. Des bombes agricoles ont explosé dans le cortège, mais sans provoquer d’incident.

16h20 : Doc Gynéco « OK pour aider » Joachim Son-Forget aux européennes

Après avoir publié une vidéo avec l’ancien député LREM Joachim Son-Forget, Doc Gynéco lui a confirmé vendredi soir son soutien sur Facebook. Ça n’est pas bien clair, mais ce qu’on sait, c’est que Doc Gynéco a envie de faire bouger les choses

 

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